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Ohoettilto-4 (oho-et-til-to-4)

--Partie 4, conflit Venet/Satprem (6pages environ.)


 Voici la quatrième partie du récit publié en 2007* par L.V. du conflit qui exista vers 1985*-1994* entre lui-même et Susie d’un côté, Satprem, Sujata, etc. de l’autre, et en étant commenté. Il est impératif de lire depuis le début (de la première partie).
Pour lire la première partie, cliquer ici.
Pour lire la deuxième partie, cliquer ici.
Pour lire la troisième partie, cliquer ici.


MALADIE ET MORT DE MI. EN 2001*

P. 33. « […] comme un choc, fut la nouvelle que Micheline était frappée d’une étrange condition qui nécessitait la pharmacopée. Micheline que j’avais connue si pleine de vie et de bonne santé allègre – mais qui m’avait complètement tourné le dos lorsque Satprem l’avait ordonné. Comment mon souvenir d’elle pouvait-il se réconcilier avec le chancellement qui semblait l’avoir saisie ? »Selon des informations déjà placées plus haut, L.V. aurait rompu ses relations avec Mi. et cette rupture continuait encore en juin 92. Est-ce qu’elle cessa après, avant que l’expulsion de L.V. en automne 93 en entrainât une autre qui dura jusqu’à la mort de Mi ? Si c’est non, ce ne fut pas après l’expulsion de L.V. qu’il y eut une rupture entre lui et Mi. et, donc, pas sur l’ordre de Satprem.

Il était très facile de concilier le souvenir de l’état de santé visible avant avec « une étrange condition qui nécessitait la pharmacopée », un état de « chancellement » : c’était de penser que Mi. avait été atteinte par une maladie.

Suite immédiate.
P. 33. « Et puis soudain, en 2001, le vrai choc : Micheline est morte, probablement décédée d’une cirrhose du foie. Plus tard, on apprendrait qu’elle avait rayé Satprem de son testament avant de mourir. Avait-elle eu un revirement de dernière minute ? Avait-elle vu, perçu quelque chose sur ce seuil où le simulacre s’estompe pour laisser place à ce qui est vraiment ? Je ne savais rien des circonstances qui l’avaient poussée, mais cette fin raisonnait si étrangement au milieu de ce qui aurait dû être la plénitude et l’harmonie d’une vie qu’elle avait choisie et voulue ainsi. »
Concernant la cause de la mort, L.V. parla de cirrhose du foie, problème qui peut arriver en plusieurs maladies. Il n’y avait aucun besoin de rattacher cette maladie et la mort à la relation de Micheline Étévenon avec Satprem. Tous les humains actuels mourront, souvent de maladie : rien d’extraordinaire.
Cependant, une cause occulte pouvait exister, comme en d’autres cas même si chacun n’en est pas conscient. L.V. n’en connaissait rien.
Pourtant, il mit la maladie et la mort de Mi. au service de son interprétation complotiste. Les mots « raisonnait si étrangement » font partie de cela.
Par ailleurs, concevoir l’approche de la mort comme un « seuil » où « s’estompe » ce que L.V. en écrivit fut une généralité abusive. La conservation de la même situation peut exister, et aussi l’enfoncement dans les ténèbres.
Dire « la plénitude et l’harmonie d’une vie » est une appréciation de L.V., qui était peut-être celle de Mi. envers sa vie, mais peut-être pas.

L.V. écrivit que Mi. raya le nom de Satprem de son testament mais il n’apporta aucun élément apportant un peu de valeur à cela. Par exemple il n’indiqua pas qui l’aurait informé de cela et ne parla d’aucun autre témoin. Si Mi. raya vraiment le nom de Satprem de son testament, elle put le faire après avoir pensé que lui aussi allait finir par mourir dans un délai qui ne pouvait pas dépasser quelques années, qu’il n’avait donc pas besoin qu’elle lui laisse quoi que ce soit et que son argent pouvait être mieux employé ailleurs.
L.V. exprima l’idée qu’elle raya par opposition à Satprem mais il ne présenta aucune information tendant à montrer qu’il y aurait eu un conflit entre elle et Satprem.

Il est possible qu’un mouvement de rejet, petit ou grand, envers celui-ci ait été en cause. Si L.V. ne savait rien d’autre que ce qu’il écrivit, il ne savait pas si un tel rejet avait existé, et il ne pouvait donc pas utiliser légitimement cela au profit de sa conception concernant Satprem. Pourtant, il le fit.

Si Mi. raya le nom de Satprem de son testament, quelqu’un qui était très proche d’elle en connait surement la cause. Que cette personne apporte son témoignage !
Depuis la publication du texte de L.V., personne ne semble être intervenu pour répondre expressément à ce dernier, pour confirmer, préciser ou démentir. Il fut peut-être pensé que ce qu’écrivit L.V. est une information, une vérité, et qu’il était inutile de la répéter. Mais ce qu’il annonça fut seulement une affirmation sans preuve, qui apparait comme une accusation sans preuve. S’il y a une erreur, pourquoi ne pas la démentir ? Pense-t-on que ce que dit L.V. soit sans valeur, puisse être considéré comme inexistant ? Ce serait se tromper. Si ce qu’écrivit L.V. est une vérité, il faudrait des témoignages de personnes proches pour que son affirmation puisse être considérée comme vraie. Plusieurs années après la publication de ce texte, rien ne semble avoir été publié sur le terrain où l’affaire commença, c’est-à-dire sur internet.
Par ailleurs, une publication exista peut-être lors de la mort de Mi., antérieure à celle de Satprem. Si ça exista et que la situation y fut racontée, pourquoi ne pas donner la référence de cette publication ? Si ça exista mais que rien ne fut écrit sur cette affaire, si elle existe, est-ce que ce fut à cause d’une volonté religieuse de faire des petits saints concernant Mi. et Satprem, faussant ainsi, partiellement, la réalité pour s’occuper de présenter une apparence considérée plaisante, une légende ?
Dans tous les cas, pourquoi laisser tout cela dans les ténèbres ? Est-ce que les personnes qui pourraient donner des informations sont dans une situation d’erreurs et d’obscurité pire que celle de L.V. ? Ou sont-ils au moins dans une situation d’ébranlement, de perte de repères ? Pire que le mutisme serait l’action pour tenter de donner une apparence. Pourquoi laisser courir la rumeur à ce sujet ?
Presque tout ce qui précède concernant Mi. avait été publié le 14 novembre 11 sur le site internet Ohoettilto désormais interdit, dans un texte dont le titre commençait par : Contribution à l’affaire du conflit entre, notamment, Luc Venet et Boni Menato d’un côté, et Satprem et Sujata de l’autre.

Voici cinq paragraphes qui proviennent, un peu remaniés, du texte Troisième complément à la Contribution…,qui avait été publié le 17 janvier 12 sur le site Ohoettilto désormais interdit.
Pierre Étévenon fut le mari de Mi. À l’occasion de la rencontre à Paris nommée « Café Auroville du 28 mars 2015 », c’est-à-dire plus de sept ans après la publication du texte de L.V. sur internet, il présenta son dernier livre, ou l’un des derniers. (Cette réunion avait été organisée par l’association Auroville International France, la deuxième association à employer ce nom, qui fut créée en 1989* après que l’association menée par Mi. ait fait rupture avec Auroville et abandonné ce nom.) En participant à cette réunion, Pierre Et. soutint cette association. Il intervint aussi publiquement, ce qui voulait être indiqué ici.
Concernant le testament de Mi., même jusqu’en 2018*, il ne semble pas s’être exprimé quelque part sur internet. (Est-ce que les gens qui le fréquentent même de peu considèrent qu’il n’est pas intéressant d’interroger cet individu à ce sujet ? Plus probablement, n’y pensèrent-ils pas ?)
Puisque L.V. fut informé que le nom de Satprem fut rayé sur le testament, Pierre Et. le fut surement aussi. S’il est vrai qu’il ne s’exprima pas sur internet à ce sujet, doit-on considérer que ce qu’indiqua L. V. est exact ? Ici, il est désormais considéré que oui. Si Pierre Et. continue de ne pas s’exprimer sur cette affaire de testament, de la confirmation existera. Pareil à propos des dirigeants de l’I.R.É. Pareil à propos d’autres proches de Mi.
Est-ce que la suppression du nom fut motivée par une hostilité envers Satprem comme l’affirma L.V. ? Sur ce sujet aussi, le silence de Pierre Et. et des autres proches fait considérer que la réponse est positive. Est-ce qu’ils veulent se valoriser en jouant aux détenteurs de secrets ? Est-ce qu’ils n’osent pas dire quelque chose qui n’est pas à l’avantage de Satprem ? En se taisant, ils sont déjà en train de contribuer à faire l’histoire, où il y a ce long silence, dont au moins une partie de la cause devrait cependant finir par apparaitre. Leur silence laisse penser qu’il y a quelque chose qui n’est pas à l’avantage de Satprem.
Il serait intéressant de connaitre la cause ou les causes qui provoquèrent la suppression du nom par Mi.

Voici un paragraphe qui provient, un peu remanié, du texte qui avait été publié le 15 avril 15 sur le site Ohoettilto désormais interdit, qui concernait divers sujets et dont le titre commençait par : D’avril 15.
Dans le tome 7 des Carnets d’une Apocalypse, écrits par Satprem, p. 194, 14-15 aout 87, il y a ceci : « J’ai compris que Micheline devait représenter quelque chose, n’est-ce pas. Et en y pensant, il m’a paru évident qu’elle représentait les Finances. » (Ça avait été pensé et dit avant par plusieurs personnes car c’était évident, et il est très étonnant que Satprem n’y ait pensé qu’en 87 et à la suite d’une « vision ».) Relire cet écrit de Satprem après la lecture du texte de L. V. fit penser qu’il serait possible qu’un conflit entre Mi. et Satprem exista à propos d’argent, et que ce fut encore à propos d’argent qu’elle répliqua en rayant le nom de Satprem de son testament. Est-ce que cette pensée correspond au moins un peu à ce qui exista ? Qui a des informations ?

Presque aussitôt après la mort de Mi., la personne qui lui avait succédé à l’Institut de recherches évolutives de France mit fin à la boutique parisienne (près de la place de la Bastille) qui avait continué d’exister, avec un autre nom, après la dissolution de l’association A.I.F. en décembre 95.


EN NOVEMBRE 02 À PROPOS DE SATPREM

L.V., dans son texte de 07, sous le titre « La violence » écrivit sur quelque chose qu’il annonça s’être passé « quelques années » avant.Selon le texte de Michel Danino qui fut émis le 7 aout 2003*, ça aurait existé en novembre 02.

P. 25. « Rien et personne n’échappait à sa compulsion destructrice, ni les êtres qui avaient été à ses côtés et servi ses desseins, ni la race humaine dans son ensemble, avec laquelle il devait pourtant partager cette terre. Il y a quelques années, lorsqu’un visiteur lui demandait, d’une façon quelque peu abstraite : "Que feriez-vous si vous étiez le maître du monde ?" Satprem, le visage soudain grave, montrant son poing fermé, répondit instantanément : "J’écraserais tout !" / Or je veux croire que Sri Aurobindo et Mère n’ont pas fait l’effort et le sacrifice de s’incarner cette fois-ci encore, de passer de laborieuses années à tenter, sur quelques spécimens humains, de montrer le passage à une autre conscience terrestre, pour que cette terre finisse dans le poing fermé de Satprem. Sinon, alors, quel est le sens de leurs efforts, le sens des milliers de lettres que Sri Aurobindo écrivait la nuit, car le jour n’y suffisait pas, pour affirmer qu’Autre Chose est possible, ici et maintenant ; le sens de cet "amour de tout et cette foi en tout" qu’il incarnait jour après jour, tandis que la Mère prodiguait le même soin, la même attention, le même défi par son sourire, par ses milliers de pas quotidiens, afin de faire un tant soit peu basculer la banalité des jours dans cet Autre Chose ? Je veux croire que leurs efforts ont abouti, dans quelques-uns au moins, que le germe qu’ils ont planté fleurit déjà dans quelques consciences, sous la calotte des stéréotypes, à l’insu des bien-pensants comme des mal-pensants. / Et alors, comment peut-on refermer son poing sur qui que ce soit ou quoi que ce soit quand on a connu Ça ? »
Si ce qui est rapporté est vrai, ça n’exprimerait pas la totalité de Satprem, mais seulement un aspect ou peut-être même seulement un jeu avec « maître ». Voir ses Carnets de cette époque.
Quoi qu’il en soit, ça ne fut pas en jeu dans les relations entre Satprem et L.V. et il est important de le constater.
Par ailleurs, « montrer le passage à une autre conscience terrestre » : créer un passage vers le haut pour permettre la manifestation (vers le bas et d’en bas) du supramental qui n’est pas seulement de la « conscience ».
Est-ce que la Mère concevait seulement l’existence de « la banalité des jours » et celle dudit « Autre Chose » ? Non ! L.V. évoqua ainsi ce qu’il concevait de sa situation et ce qu’il avait espéré obtenir de sa fréquentation de Satprem.
Qu’est-ce que L.V. évoqua lorsqu’il écrivit « fleurit déjà dans quelques consciences » d’humains ? Est-ce que cette floraison, cet épanouissement, dans la conscience, est considéré par lui comme l’aboutissement de toute l’affaire de Sri Aurobindo et la Mère ? Qu’est-ce qu’il comprit de tout ça ? Son incompréhension explique une partie de ses erreurs.
Est-ce que L.V. n’avait plus pour lui l’espoir qu’il avait eu autrefois et qu’il se rabattit sur l’espérance que ce qu’il imaginait soit réalisé dans d’autres humains ?


EN 03, EXPULSION DE M. ET N. PAR SATPREM

P. 25. « […] rêve […] Satprem se trouvait seul dans cette caverne […] l’effondrement du monde […] "C’est la seule solution." […] ce rêve est indicatif de la sorte d’obsession destructrice dans laquelle Satprem vivait à l’époque. Non seulement j’étais dans le collimateur immédiat du fait de mes trahisons supposées, mais après moi (comme je le découvrirais plus tard) tout le reste allait suivre : Michel et Nicole, qui me remplacèrent, allaient être soumis aux pires accusations et expulsés des Nilgiri ; […]. »
P. 33 et 34. « Puis survint en 2003, […], un autre couple, un autre "Luc", mais avec les mêmes accusations et les mêmes insultes (en pire), la même diabolisation (en pire), la même frénésie d’avoir à vider les lieux sur le champ. Il s’agissait de Michel et Nicole, qui avaient vécu près de Satprem et Sujata dans les Nilgiri pendant vingt ans et avaient largement contribué à la publication des livres en Inde. Or depuis quelques années, eux aussi avaient commencé à avoir une activité intellectuelle indépendante au sein d’un groupement culturel indien. Eux aussi s’étaient liés d’amitié avec des Indiens en dehors du groupe que Satprem avait formé. Sans oublier ce qui les reliait avec le travail déjà accompli auprès de Satprem, ils entendaient sans doute vivre leur propre vie. Mal leur en prit. Le déferlement de hargne à peine contenue qui s’ensuivit ne prit fin qu’avec leur départ précipité de la maison qu’ils habitaient depuis vingt ans – un départ que Sujata salua, dans son style inimitable, en informant les parents de Michel que des livres (par un clin d’œil du sort, il s’agissait justement d’Agendas de Mère en provenance des États-Unis !) allaient remplacer Michel et Nicole dans la maison qu’ils venaient de quitter et allaient "chasser toutes les noirceurs que Michel-Nicole ont laissé dans la maison". Quant à Satprem, sans doute pour ne pas être en reste, il leur jeta un dernier : "Qu’ils soient à jamais oubliés dans les poubelles de l’Histoire." / […] la libération de Michel et Nicole […] »


L.V. ne donna pas de précisions sur le conflit qui opposa Satprem et Sujata d’un côté, et M. et N. de l’autre.
Cette histoire est présentée dans un autre texte publié sur le présent blog Ohoettilto-4, celui titré : En 03, le conflit entre Satprem, Sujata et Patrice Marot d᾿un côté, Michel Danino et Nicole Elfi de l᾿autre. On y apprend notamment ce qu’était le « groupement culturel indien ». Il soutenait l’hindouisme avec la volonté de l’augmentation de sa domination en Inde. Ces deux personnages favorisaient cela ! Satprem les avait poussés à faire cela puis il leur reprocha de le faire ! En plus, ils mettaient des écrits de Sri Aurobindo et la Mère au service de cela, en y passant beaucoup de temps au détriment du travail avec Satprem ! Celui-ci les expulsa.
L.V. connut le récit fait par M. de ce conflit. Il perçut de la similitude entre sa situation et celle de M. et N., et il y en avait. Mais il ne comprit pas une grande partie de l’essentiel, comme pour ce qu’il avait vécu.

 

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