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Ohoettilto-4 (oho-et-til-to-4)

Hindouisme, Satprem, Danino, Elfi (9p. environ.)

 

L’HINDOUISME DE MICHEL DANINO ET NICOLE ELFI
DANS LEQUEL ILS FURENT POUSSÉS PAR SATPREM
QUI VOULAIT AUGMENTER
LA TYRANNIE HINDOUISTE EN INDE,
AVANT DE LEUR REPROCHER D’Y ÊTRE
ET DE LES CHASSER DE SON ENTOURAGE EN 2003*

 

Le présent texte avait été publié le 18 décembre 2011* sur le site internet Ohoettilto qui est désormais interdit. Il l’avait été avec le titre suivant : Premier complément à la contribution à l’affaire du conflit entre, notamment, Luc Venet et Satprem, et qui est relatif à « Michel et Nicole ».
Lors de sa rédaction, le conflit qui avait existé en 03 entre Michel Danino et Nicole Elfi d’un côté, Satprem, Sujata et Patrice Marot de l’autre, n’était connu que par ce qu’en avait écrit Luc Venet dans son texte publié sur internet en 07 puis avec la connaissance de ce qui était écrit sur le site internet nommé Jaïa Bharati.
Ensuite furent connus les documents qui firent produire le texte du présent blog dont le titre commence par : En 03, le conflit entre Satprem, Sujata et Patrice Marot d᾿un côté, Michel Danino et Nicole Elfi de l᾿autre.

Cependant, le présent texte a encore de l’intérêt. Il en a notamment à cause de l’arrivée au pouvoir en Inde, le 16 mai 2014*, d’un parti politique hindouiste, avec son action nuisible, notamment à propos de hatha yoga et de Sri Aurobindo. (Voir l’article relatif à l’onusienne Journée internationale du yoga qui est sur un autre blog : Ohoettilto-3.)

Par rapport au texte qui avait été publié sur le site internet Ohoettilto, les seules différences, en plus du titre, sont les suivantes. Le titre de la première partie est conservé mais son contenu n’est pas reproduit car il est, pareil, dans l’article du présent blog relatif au site Jaïa Bharati. Celui-ci est favorable à l’augmentation de la tyrannie hindouiste en Inde, et Michel Danino et Nicole Elfi s’y exprimèrent en accord avec cela. Par ailleurs, environ cinq fautes furent corrigées.
Voici ce texte.


INTRODUCTION

Durant la rédaction de la Contribution à l’affaire concernant le conflit entre [...] Luc Venet [...] contre Satprem [...], le passage du texte de Luc Venet concernant "Michel et Nicole" fut commenté de manière brève à cause d’un manque d’information.

Désormais, en novembre 11, on sait que ces deux prénoms désignent Michel Danino et Nicole Elfi, et que les deux sont actifs dans l’association nommée Jaïa Bharati, qui a un site internet du même nom.
On peut donc désormais comprendre une grande partie de ce qu’il se passa pour eux, et le texte publié par L. V. est donc davantage compréhensible.

Le nom de ces deux individus n’avait pas été indiqué par L. V. en 07. Les deux sont indiqués ici car ces individus les ont déjà rendus connaissables.
Par ailleurs, pour apprécier la situation entre eux et Satprem, il faudrait connaître ce qu’était leur relation avec l’association J. B. en 03, époque vers laquelle Satprem les chassa, à cause de cette relation selon ce qu’indiqua L. V. La cause est qu’ils auraient pu considérer ensuite celle-ci comme une erreur et la rompre. Mais ils semblent encore faire partie de cette association puisqu’ils écrivent encore des articles sur son site internet, et leur relation avec J. B. n’est donc pas considérée par eux comme étant une erreur.

Voici donc les erreurs de M. et N., qui provoquèrent probablement leur expulsion par Satprem, et que celui-ci les avait poussés à commettre.


QU’EST-CE QU’EST LE SITE JAÏA BHARATI ? ASPECT RELIGIEUX HINDOUISTE, VOLONTÉ D’AUGMENTER LA DOMINATION RELIGIEUSE HINDOUISTE EN INDE, MISE AU SERVICE DE L’HINDOUISME D’UNE PARTIE DE LA CONNAISSANCE APPORTÉE PAR SRI AUROBINDO ET LA MÈRE

[…]


M. ET N. CHASSÉS PAR SATPREM

Vers le début de l’existence du site internet de l’Institut (français) de recherches évolutives, il y avait dessus une rubrique relative aux sites « amis », avec un lien cliquable pour aller immédiatement sur le site J. B. En allant par curiosité sur ce dernier, il était possible de constater en moins de cinq minutes le caractère religieux, du genre hindouiste, avec la volonté de tyrannie hindouiste en Inde et l’utilisation en ce but d’une partie de la connaissance apportée par Sri Aurobindo et la Mère. (Et on ne parle pas de l’idée de vouloir répondre à des journaux.) Il était donc facile de constater l’égarement, l’activité opposée au développement évolutif promu par Sri Aurobindo et la Mère, l’activité ennemie.

Par rapport à l’activité de M. et N. consistant à publier et diffuser l’Agenda en aidant Satprem, leur activité avec J. B. est une chute.
Pour comprendre tout cela, il n’y avait pas besoin de savoir que M. et N. furent chassés par Satprem.

Lorsque Satprem connut l’activité de M. et N. avec J. B., qui découlait de ce qu’étaient ceux-ci, on peut comprendre qu’il ait aussi perçu ce qui vient d’être indiqué, et peut-être encore pire. On peut comprendre qu’il l’ait désapprouvée. Satprem eut raison.
On peut aussi comprendre qu’il ait chassés M. et N. (si ce qu’en dit L. V. en 07 est vrai).
Est-ce qu’il eut raison de les chasser ? On peut penser d’abord qu’il est impossible de le savoir lorsque tous les éléments de l’affaire ne sont pas connus mais que, puisque telle fut la réaction de Satprem, sa manière de réagir, elle ne peut pas lui être reprochée. Ensuite, on peut penser qu’il est probable que Satprem comprit aussitôt que ce ne sont pas quelques paroles, des explications, qui pourraient modifier en profondeur l’état de M. et N., que la seule solution était leur départ et qu’il eut donc raison de les chasser.

L.V., dans son texte de 07, n’indiqua pas l’essentiel de cette affaire, qui est ce qui est indiqué ci-dessus.
Il présenta l’affaire d’une manière qui donne tort à Satprem. « [...] depuis quelques années, eux aussi avaient commencé à avoir une activité intellectuelle indépendante au sein d’un groupement culturel indien. Eux aussi s’étaient liés d’amitié avec des Indiens en dehors du groupe que Satprem avait formé. Sans oublier ce qui les reliait avec le travail déjà accompli auprès de Satprem, ils entendaient sans doute vivre leur propre vie. Mal leur en prit. »
Si M. et N. ne s’étaient pas faits tombés dans l’hindouisme, et en mettant à son service une partie de la connaissance apportée par Sri Aurobindo et la Mère, Satprem aurait probablement réagi différemment face à « une activité intellectuelle indépendante » et « vivre leur propre vie ».

En 07, L.V. écrivit : « tout se répétait dans les moindres détails [...] avec les mêmes accusations et les mêmes insultes (en pire), la même diabolisation (en pire) ».
L’activité de groupe de L. V. qui avait déplu à Satprem ne fut pas semblable à celle de M. et N. mais dans les deux cas il y eut du déraillage. La situation de L. V. était une folie qui n’avait concerné que lui-même et les autres disciples de leur folie. Celle hindouiste de M. et N. soutenait tout l’hindouisme, et abaissait (en mots, pour eux) une partie de la connaissance apportée par Sri Aurobindo et la Mère, et c’était grandement pire. Elle était aussi une preuve que ce n’était pas une bonne influence intérieure qui avait poussé à cela.

Lorsque Satprem eut connaissance du soutien à l’hindouisme, de l’activité hindouiste, comment fut le début de sa réaction ? Est-ce qu’il tenta d’expliquer en douceur ce qui n’allait pas ? S’il le fit, est-ce qu’il s’y prit mal ? Ou est-ce qu’il fut aussitôt furieux en ayant « la même frénésie » pour faire « vider les lieux sur le champ » (comme l’écrit L.V.) ? Quoi qu’il en soit, il est probable qu’il comprit aussitôt que ce ne sont pas quelques paroles, des explications, qui pourraient modifier en profondeur l’état de M. et N. et que la seule solution était leur départ.
L. V. parla d’« accusations », d’« insultes (en pire) », de « diabolisation (en pire) ». Des mots furent donc prononcés.
M. et N. les connaissent, et L.V. sait ce qui lui fut répété. Ils peuvent savoir si l’explication présentée ci-dessus correspond à de la réalité, un peu, beaucoup, ou pas du tout.


SATPREM POUSSA M. ET N. DANS LEURS ERREURS

Il y a un autre aspect.

Est-ce qu’il y eut la même situation que pour L. V. et son projet de transformation ? Si oui, ceci aurait existé. Satprem annonça quelque chose concernant ce qui devrait exister. M. et N., peut-être parce qu’ils voulurent plaire à Satprem, se mirent à agir en faveur de ce qui, selon celui-ci, devrait exister. Satprem finit par constater que ce qu’avaient fait M. et N. était mauvais et le leur reprocha, mais sans reconnaître que c’est lui qui avait poussé à cela, (et alors que M. et N. n’étaient pas obligés de se laisser pousser ainsi et furent donc responsables de leur action). L’hypothèse qui vient d’être indiquée correspond-elle à la réalité ?

Est-ce que Satprem reprocha aux gouvernements indiens successifs d’omettre l’enseignement hindouiste dans des écoles publiques et même de vouloir exclure l’hindouisme de la vie publique indienne ?
Il y eut la réponse spontanée que oui mais d’où venait-elle ? Est-ce qu’elle correspondait à la réalité ?
Presque tous les livres publiés par Satprem après 85 n’avaient pas été lus.

En cherchant rapidement dans des Carnets d’une Apocalypse, il fut trouvé ceci.

D’abord, voici des passages dont chacun peut être employé pour soutenir une des deux réponses contraires et dont on ne dit rien de plus.
Tome 1, page 279. « Il n’y a rien à faire en Inde, tout est pourri – oui, le Véda est chassé de l’Inde. »
T. 2, p. 105, concernant les Auroviliens. « C’est vous-mêmes qui ouvrez la porte à l’Ennemi au nom de l’unité spirituelle ou au nom du sacro-saint money-power ou au nom du Tantra et de tous les textes sacrés de l’Inde – mais Mère pure, Mère simple, Sri Aurobindo pur, qui en veut ? »
T. 2, p. 232. « Aucun des deux problèmes fondamentaux ne sera touché par Indira : la population [en trop grande quantité], la pieuvre bureaucratique et corrompue. »
T. 2, p. 271. « Tout de même ! l’Armée [chrétienne protestante] du Salut en Inde... védique, c’était un peu fort. »

Voici un passage montrant que Satprem reprocha aux gouvernements indiens successifs de vouloir exclure l’hindouisme de la vie publique indienne ?
T. 5, p. 268, à la date du 16 mai 85, petit article que voici reproduit en entier.
D’abord le titre, donné par Satprem, en lettres capitales : « Là où les Dieux n’ont pas de place ».
Puis la citation, en trois paragraphes, d’une lettre ou d’un article de journal. « Madras, 14 mai [.] L’affichage de portraits et d’images de dieux, de déesses et de symboles religieux dans des laboratoires de recherche va-t-il à l’encontre de la laïcité ? Oui, selon un important laboratoire national à Madras. L’Institut central de recherches sur le cuir, à Adyar, a désapprouvé de tels affichages dans les bureaux et lieux de travail, et a demandé à ses employés de cesser cette pratique. »
Puis le commentaire de Satprem, en deux paragraphes : « Ils ne veulent pas de leur propre force. Mais c’est la fin de l’Inde de Nehru. »
Le mot « laïcité » est employé et on ne sait pas s’il traduit correctement le mot anglais de l’article. Quoi qu’il en soit, sa signification semble, au moins : séparation de la vie publique d’avec des croyances, au moins les religieuses. C’est pour cela que, dans un laboratoire étatique, des images religieuses ne doivent pas être affichées.
Satprem est opposé à cela. Il ne semble pas en avoir compris l’intérêt pour l’Inde. Il est donc probable qu’il ne le comprenait pas non plus pour la France qui, au meilleur d’elle-même, est dans cette situation (mais qui a aussi d’innombrables éléments contraires et une dynamique actuelle de la société qui est aussi contraire). Satprem est donc alors un partisan de tyrannies religieuses. À ce sujet, il est au niveau des religions, pas au-dessus d’elles, il est au niveau du plan des religions, pas au-dessus de lui. Pour la France, il apparaît à ce sujet comme un ennemi de la Révolution française, et de la République française, un réactionnaire, un ennemi de l’évolution.
Par ailleurs, rien dans l’article ne dit que les images qui avaient été affichées étaient hindouistes. Il est donc possible que ce soit des conquérants chrétiens par exemple qui avaient affiché leurs images.
Satprem réagit comme s’il était certain que des images hindouistes étaient en cause : « leur propre force ».
Premièrement, les admettre aurait impliqué d’admettre celles d’autres religions (et peut-être même des signes de croyances non-religieuses), par exemple des images du prétendu dieu créateur chrétien ou l’équivalent mahométan. Satprem aurait-il approuvé cela ? (Il écrit : « Là où les Dieux n’ont pas de place ».) Sinon, la solution est d’interdire ce genre d’affichage, comme ce fut le cas dans le laboratoire indiqué.
Deuxièmement, Satprem aurait voulu que, dans ce laboratoire, des expressions de l’hindouisme soient affichées. (Il y a peut-être le sous-entendu suivant : et seulement elles.) Il aurait voulu l’existence de cette domination hindouiste.
Les mots « l’Inde de Nehru » désignent les gouvernements successifs indiens depuis l’indépendance de l’Inde.

Voici un passage montrant que Satprem reprocha aux gouvernements indiens successifs d’omettre l’enseignement hindouiste dans des écoles publiques et, donc, de vouloir exclure l’hindouisme d’au moins une partie de la vie publique indienne.
T. 6, p. 159, à la date du 26 avril 86.
Un petit article commence ainsi. « Timbre émis pour le "jour des enfants" (!) (anniversaire de Nehru) : »
Ensuite, il y a la reproduction d’un timbre postal qui représente une écolière assise devant un micro-ordinateur posé sur une bureau.
Ensuite, il y a ceci. « On ne dit plus aux enfants : vous avez un Trésor en vous. On leur dit : vous avez une Machine qui résoudra tout. »

Un texte publié après 85 est la brochure titrée Néanderthal Regarde, publiée en 99.
Pages 14 et 15, il y a un passage concernant l’hindouisme et que voici en entier.
« Ainsi, en Inde, le grand dieu de l’"Indépendance", Pandit Nehru, le chef de cette dynastie néfaste et pestilente qui règne depuis cinquante-deux ans sur l’Inde, alors que moi j’ouvrais grand les yeux sur cet autre Regard insondable et immense il y a cinquante-trois ans à la sortie des camps de la Mort, ce Nehru sorti de l’incubation britannique perfide déclarait impudemment à un écrivain français qui était venu le voir, Alain Daniélou, pour lui dire tout bravement son émerveillement de l’Inde et son désir de parler-écrire de l’"hindouisme"... Estomaqué, il s’entendit répondre : "Vous vous intéressez à tout ce que nous voulons détruire."
La grande trahison de l’Inde.
Ils crachent sur leur propre Mère.
Ils renient leur propre culture.
Ainsi le veut l’Occident religieux et scientifique. Mais le Fait demeure : les "religions" sont une fabrication occidentale moderne. Il n’y a jamais eu de "religion hindoue", et il nous reste peut-être une autre Science à découvrir. Avant NOUS, il y avait tout simplement des chercheurs de l’Homme et de son QUOI sur cette Terre.
C’est la grande trahison de l’Homme.
Les petits Nazis partout.
Ainsi, à deux mille ans moins un, nous débouchons sur une Inde "séculariste" et anti-hindoue qui insulte son histoire à l’Est, et c’est le grand Seigneur américain et ses valets à l’Ouest, et le virus pestilentiel et démentiel traverse toutes les frontières. »
Satprem ne donne pas la référence de l’écrit d’Alain Daniélou et, surtout, on ne sait pas si ce dernier rapporta correctement la phrase attribuée à Nehru. Peu importe. Faisons comme si c’était exact, car ça l’est probablement.
Satprem écrit que « les "religions" sont une fabrication occidentale moderne » et qu’« Il n’y a jamais eu de "religion hindoue" ». Sans même s’occuper de ce qui exista autrefois, surtout par rapport à ce qui est « moderne », ce que Satprem dénonce est l’objectivation, un développement de la conscience, une prise en conscience de davantage d’éléments, une vision plus large, qui fait constater qu’il y a plusieurs éléments, plusieurs groupes d’éléments, distincts, notamment celui qui fut nommé religion hindoue ou hindouisme, et peu importe ses distinctions internes. Satprem regrette l’existence de ce développement mental, ce développement de la conscience.
Satprem dénonce la volonté de détruire l’hindouisme en Inde mais cette volonté n’y existe pas au niveau étatique, c’est-à-dire que ce pays n’a pas cette volonté, même si certains de ses habitants l’ont.
Ce que dit Satprem correspond à une dénonciation de la volonté de réduire la domination hindouiste en Inde, l’endoctrinement religieux hindouiste, qui produisit et produit notamment les castes, système d’hérédité de situations sociales en tout genre, où des développements personnels sont étouffés lorsque des impulsions favorables à l’épanouissement personnel, et surtout la poussée psychique, ne sont pas assez fortes pour faire sortir de l’ornière. Il n’y a pas que ça qui est reprochable dans l’hindouisme, religion ayant aussi des inconvénients qu’ont d’autres religions.
Satprem dit qu’il n’y a pas de religion hindoue car, « Avant NOUS, il y avait tout simplement des chercheurs de l’Homme et de son QUOI sur cette Terre ». D’abord, surtout lorsqu’il y a des rites, ce n’est pas incompatible avec de la religion et, surtout, pour les membres de la société, adultes ou enfants, qui n’étaient pas des « chercheurs », ce qui était vécu à ce sujet l’était certainement comme de la religion.
Satprem veut la continuation de la tyrannie hindouiste.
La volonté de la réduire qui existe en Inde est dite provenir de l’influence de « l’Occident » : des Indiens opprimés eurent peut-être cette volonté par eux-mêmes il y a longtemps mais c’est l’influence de « l’Occident » qui a un grand effet contemporain. Est-ce que Satprem approuvait la réduction de la domination religieuse en Occident mais voulait qu’elle n’existât pas en Orient ? Est-ce qu’il aurait voulu qu’elle n’existât pas en Occident ?
Est-ce que l’Inde devrait rester coincée dans de l’hindouisme !? Est-ce qu’il n’y a rien de mieux en Inde que l’hindouisme !? Est-ce qu’il n’y a rien de mieux que cette religion et les autres !?
Satprem n’avait-il jamais entendu parler d’un développement évolutif en cours, dans lequel se retrouvent notamment des individus qui n’étaient pas adeptes de religions, ce développement n’étant pas fait pour mener à une situation avec une ou plusieurs religions !?
Lorsque Satprem écrivit ce passage sur l’hindouisme, il n’était pas au meilleur de lui-même.
Et il mélangea ce qu’il écrivit sur l’hindouisme avec « Science » et avec ce qui aurait existé « Avant NOUS ».
Satprem emploie le mot « séculariste » à propos de l’Inde. Peu importe ce que ça vaut à propos de ce pays. Pour la lutte, en France, contre les dominations religieuses, c’est un mot religieux, qui n’exprime pas une sortie de religion mais concerne une répartition interne à une religion, quoique, en France, des individus l’aient parfois employé, à tort, pour désigner une sortie, pour désigner quelque chose qui est en dehors.

Il est probable que Satprem parla de cela avec M. et N.

Donc, il est certain que Satprem annonça, répéta, que la domination hindouiste en Inde devrait être accrue, avec davantage de présence dans la vie publique indienne, avec l’endoctrinement religieux des enfants dans les écoles car c’est ça qui, en pratique, aurait existé. Il poussa ainsi M. et N. à agir en faveur de l’hindouisme en Inde et du développement de sa domination dans la vie publique indienne. Ils agirent ainsi. (Est-ce que ce fut pour plaire à Satprem ?)

Depuis quand Satprem se mit-il à vouloir augmenter la domination hindouiste en Inde ?
Il était pourtant possible de penser que, dans l’évolution, il y ait une phase de rejet, partiel, de l’enseignement hindouiste afin que de jeunes individus ne soient plus aliénés religieusement et, après quelques générations, davantage d’individus pourraient s’intéresser à Sri Aurobindo et la Mère et à pratiquer sans avoir des obstacles religieux en eux.


SATPREM S’OPPOSA À L’ACTION DE M. ET N.

À quel moment fut créée l’association Jaïa Bharati ?

Elle fut créée par des satprémistes.
Elle semble avoir été créée pour développer un élément de la pensée de Satprem. Elle semble avoir été d’abord satprémiste.

Satprem finit par constater que ce qu’avaient fait M. et N. était mauvais, le leur reprocha et les chassa.

Est-ce que Satprem vit un reflet de sa position ? Est-ce qu’il ne reconnut pas que c’est lui qui avait poussé à cela ? (Quoi qu’il en soit, M. et N. n’étaient pas obligés de se laisser pousser ainsi et sont donc responsables de leur action.)

Est-ce qu’il leur reprocha vraiment l’hindouisme ?
Est-ce qu’il leur reprocha seulement d’utiliser une partie de l’apport de Sri Aurobindo et la Mère au service de cela ?


CONCLUSION

Ce qui n’est pas encore connu (et qui ne le sera peut-être jamais sauf par M. et N.) est aussi ceci. Qu’est-ce qui poussa ceux-ci à aller travailler avec Satprem ? Est-ce que, au cours de ce travail, ils renoncèrent à suivre leur guide intérieur ? Quelle fut leur motivation la plus profonde connue à s’occuper d’hindouisme ? Est-ce qu’il y eut d’abord un bon développement intérieur mais que, à un moment, il y eut une déformation ?


M. et N. semblent avoir fait ou contribué à faire la traduction de l’Agenda en anglais. Si c’est vrai, est-ce que la position de ces deux individus put provoquer des déformations ?

Par ailleurs, tout ça exista alors que Satprem avait commencé à considérer tous les humains sauf lui-même et Sujata comme des nazis, des non-humains, des rats, qui méritaient la destruction. Est-ce qu’il ne s’apercevait pas que cet aspect de lui-même était celui de quelqu’un qui joue à être de la race supérieure !? Est-ce qu’il ne se rendait pas compte que les réflexions produites par cet aspect de lui-même le font ressembler, pour cet aspect, à un nazi !? Il est possible que la nouvelle phase de développement positif qui avait commencé en lui faisait, par réaction, s’exprimer aussi une partie néfaste de lui-même, qui est peut-être en tous les êtres humains sauf des avatars.
Il est probable que de futurs êtres les plus évolués de l’humanité n’auront pas cet aspect nocif. Avant qu’ils apparaissent, il y aura peut-être d’autres êtres les plus évolués de l’humanité qui l’auront. S’ils cherchent à le mettre en pratique, ils seront sûrement combattus et peut-être tués. Ils l’auront mérité et ce sera une nécessité évolutive. Si le présent écrit leur parvient avant qu’il soit trop tard pour eux, ils auront été prévenus ainsi, et il y aura forcément d’autres avertissements. Ils pourront tenter de s’empêcher d’agir nuisiblement envers tous les humains leur étant inférieurs.

Le commentaire du passage du texte de L. V. qui concerne M. et N. se termine ici. Cela dit, puisqu’il fut ainsi parlé du site J. B., il est pensé que davantage d’informations concernant ce dernier doivent être présentées. Elles le sont dans un autre texte qui contient le nom Jaïa Bharati dans son titre.